CSE de décembre 2022
Le budget est équilibré et malgré une légère baisse des effectifs, il n’y a pas de grosses modifications par rapport au budget précédent en dehors d’une subvention restauration estimée amoindrie de l’ordre de 200.000€.
Le budget est équilibré et malgré une légère baisse des effectifs, il n’y a pas de grosses modifications par rapport au budget précédent en dehors d’une subvention restauration estimée amoindrie de l’ordre de 200.000€.
Le nombre croissant de démissions des essayeurs vers des entreprises privées confirme l’existence d’un malaise sur ces métiers et inquiète les élus UNSA-Ferroviaire.
La direction de l’EIC s’est déjà engagée auprès de vos représentants UNSA Ferroviaire pour garantir aux agents le maintien de leurs EVS et limiter au maximum les éventuelles modifications d’OTS.
D’aucuns tentent de tirer une nouvelle fois la couverture à eux (à quelle fin ?), en faisant croire aux agents qu’ils sont les seuls à avoir défendu le pouvoir d’achat des cheminotes et cheminots, lors des NAO…. L’UNSA-Ferroviaire, ne tenant pas à rentrer dans le jeu des polémiques stériles, rétablit la vérité en images.
La délégation UNSA-Ferroviaire interpelle une fois de plus le Président du CSE, notamment sur les choix, plus que
discutables, de Réseau en matière de conception d’outils informatique. L’appel à des « Partenaires » non aguerris
au métier ferroviaire montre ses limites.
Dans le cadre de la crise sanitaire, l’UNSA Ferroviaire revendique, dans un Groupe Ferroviaire qui est qualifié d’Unifié depuis le 1er janvier 2020 par la loi, l’octroi d’une prime exceptionnelle pour la reconnaissance du travail des agents durant cette période.
Vos élus UNSA-Ferroviaire veillent à défendre au mieux les intérêts des agents et restent vigilants vis-à-vis des risques engendrés par ces projets de réorganisations que la Direction lance de toute part.
L’UNSA-Ferroviaire se félicite que suite à notre dernière DCI concernant l’éligibilité des agents du siège de la DZP aux Titres Restaurants, ce changement de LPA leur permettra enfin d’y avoir droit.
Ces nombreuses réorganisations non concertées, mal définies, sans cap avéré, interrogent !
» À qui le tour ? »
« Monsieur le Président, s’il est important de regarder les coûts, il est aussi essentiel de se poser les questions sur l’efficacité productive et l’impact sur les salariés. »
Oui, comment tenir devant les pertes de re-pères, les désillusions du métier, la désinvolture des dirigeants, le manque de rigueur à tous les étages de SNCF Réseau, la désorganisation planifiée…
Si l’UNSA-Ferroviaire peut entendre qu’il est nécessaire de trouver des solutions pour re-dresser la situation financière de notre Entreprise et comprendre les enjeux qui sont la con-séquence d’une crise sanitaire sans précédent, nous n’acceptons pas que l’humain soit la variable d’ajustement.
Lors de la réunion CSE Extraordinaire du 25 novembre 2020, nous avons rappelé à la direction que le CSE DOIT être informé et consulté sur tout aménagement important modifiant les conditions de santé, de sécurité ou les conditions de travail. À la suite des manquements et de volonté affichée de ne pas consulter l’instance, les élus du CSE ZP NEN ont saisi la juridiction afin de faire valoir leurs droits.
L’UNSA-Ferroviaire dénonce avec virulence l’objectif poursuivi, qui réduira fortement la capacité de maintenance du gestionnaire d’infrastructures,et la méthode employée, qui conduira à une dangereuse désorganisation de l’entreprise.
Le 10 mars s’est tenue la deuxième table ronde sur le projet «Maintenir demain ». Quand la Direction parle de « Maintenir de-main», sur le terrain, les cheminots parlent plutôt de « Comment tenir demain ? ».